À Fort-de-France, le 22 mai prend des couleurs de résistance et de célébration.
Sur le stade Serge Rouch, la mémoire de l’abolition de l’esclavage se vit en créole, en tambour et en partage.
Défilés, dictées, expositions, danses bèlè et cuisine traditionnelle…
La journée a rassemblé des familles entières autour d’un mot d’ordre : “an péyi, an kilti, an drapo !”
Immersion au cœur d’une commémoration kalbas épi kè cho.