En matière d’anti-douleur l’automédication comporte de sérieux risques. Une prise trop importante d’Ibuprofène, de Paracétemol ou d’Aspirine peut même s’avérer fatale. L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé réclame que d’ici janvier 2020 , les anti-douleurs devraient reprendre leur place derrière le comptoir. Une décision plutôt bien reçue par les clients.