Si le premier mai est synonyme de jour de revendications salariales , de muguet et de repos, certaines professions réclament le droit de travailler malgré l’interdiction légale pour la majorité des entreprises. C‘est le cas notamment des boulangers et des fleuristes. Une question qui depuis quelques années revient sur le devant de la scène a cette date bien que strictement encadrée par la loi. Mais qu’en est t-il en Martinique ?