Les discussions entre l’intersyndicale, le préfet Stanislas Cazelles et le président du Conseil Exécutif de la CTM n’ont finalement pas débuté ce lundi 29 novembre malgré la signature de l’accord de méthode.
Du côté des syndicats, alors que l’accord de méthode comportait la date, le lieu et la composition de 7 ateliers thématiques, une confusion à propos du calendrier et de l'organisation des différents ateliers a entravé le lancement des négociations.
Celles-ci concernent : la santé, la jeunesse, la vie chère (carburant - gaz), le transport, la chlordéconémie, la pêche et la culture.
Selon la préfecture, ce sont les barrages qui ont empêché le démarrage des ateliers. Une partie des syndicats n’a pas pu se rendre aux ateliers consacrés à la Chlordéconémie, la vie chère-carburant-gaz et la pêche. Les participants des services de l’État n’ont pas pu se déplacer sur les autres lieux de négociations.
La préfecture indique qu'un entretien a eu lieu avec l’intersyndicale pour constater ces impossibilités.
Les ateliers ont pour "objectif de trouver des solutions en particulier sur les conditions de mise en œuvre de l’obligation vaccinale, sur la baisse du prix des carburants et du gaz et les aides pour y faire face, mais également pour l'investissement en faveur des jeunes, par la création d’un plan Jeunesse sur l'emploi, la formation, le logement, la culture, la mobilité et le sport”.
Maintien des barrages
L’intersyndicale n’appelle pas à la levée des blocages. Le mouvement de grève générale devrait se poursuivre demain.
