L’aide à mourrir a été voté à l’Assemblée. Le projet de loi de fin de vie présenté au printemps 2024 par le gouvernement Attal a suscité de nombreuses interrogations dans l’hémicycle. Finalement, cette réforme contient deux parties : une sur les soins palliatifs et une autre sur le droit à l’aide à mourrir. Le patient pourra donc formuler une demande auprès d’un médecin, qui rendra ensuite une décision après avoir réuni un collège. Un sujet de société qui fait débat même dans nos rues.