Depuis 2018, le CHU a mis en place une consultation pour les personnes qui ressentent des symptômes dû aux effets des sargasse. Près de 250 patients ont déjà consulter.
48 heures après avoir stagné sur une zone ces algues dégagent des gaz d’hydrogène sulfuré et d’ammoniaque lors de leur décomposition. Un phénomène surveillé par l’ARS car certainement néfastes pour la santé.